Trêve
silencieuse
La
silhouette élancée
Et le
regard fuyant,
D’un
vol assuré
Qu’on
eut dit chancelant,
Il
courait silencieux
Vers
d’ineffables rêves.
Pas
même un vœu,
Tout
autour c’est la trêve.
Bienveillance
du ciel apaisé,
Les
images mouvantes,
Occasions
de Beauté,
Dansent
pour lui ondulantes.
Le vol
terminé, désapprivoisées,
Des
images, toujours les mêmes, abîmées…
Miroirs d’enfants brisés.
Maintenant,
c’est à nouveau la fête
D’un
univers sans queue, sans tête.
H.
Seposa
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