Au printemps des fleurs fanées
Quand de ta propre âme exilée
Tu ris de ta folie
Alors tu vis
Le rire don du ciel
Monts et merveilles
Joie de l’humanité
Pas encore éplorée
Au sommet de la sagesse
Quand le vin devient ivresse
Que tes mots sont rougis
Alors tu vis
Un amour retrouvé-perdu,
Un parent aimé-déchu
Peu importe quoi ou qui
Quand d’une larme tu ris
Alors tu vis !
Le rire de Gouarch |
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